Sonata 1
pour violon et piano
VN24 - 20,00 CHF (Print)
Richard Lane (1933-2004)
Richard Lane a composé cette Sonata 1 pour violon et piano en 1964 pour son amie Isabelle Wegmann (1907-1997), violoniste de concert et pédagogue renommée avec laquelle il collabora régulièrement. Comme Lane, mais bien avant lui, Wegmann a également étudié, à l'Eastman School of Music, puis à la Juilliard School de New York.
Wegmann était une musicienne active en récital, musique de chambre, d'orchestre et son enseignement du violon lui valut une grande renommée.
Lane a composé onze pièces pour violon solo, couvrant les niveaux pédagogiques, communautaires et professionnels. Quatre pièces ont été composées pour le niveau pédagogique : Waltz (1972) ; A Song for Sally (1975); Serenade (1985) et Summer Song (2004), suivies par sa seule pièce de niveau communautaire A Klezmer Tune (??) et de six pièces pour violon de niveau professionnel, dont une de ses premières oeuvres, This Particular Spring (1956), suivie de Suite (1960), Sonata 1-3 (1964, 1979, 2003), et Elegy (1989).
Demosthenes Dimitrakoulakos
Richard Lane a composé cette Sonata 1 pour violon et piano en 1964 pour son amie Isabelle Wegmann (1907-1997), violoniste de concert et pédagogue renommée avec laquelle il collabora régulièrement. Comme Lane, mais bien avant lui, Wegmann a également étudié, à l'Eastman School of Music, puis à la Juilliard School de New York.
Wegmann était une musicienne active en récital, musique de chambre, d'orchestre et son enseignement du violon lui valut une grande renommée.
Lane a composé onze pièces pour violon solo, couvrant les niveaux pédagogiques, communautaires et professionnels. Quatre pièces ont été composées pour le niveau pédagogique : Waltz (1972) ; A Song for Sally (1975); Serenade (1985) et Summer Song (2004), suivies par sa seule pièce de niveau communautaire A Klezmer Tune (??) et de six pièces pour violon de niveau professionnel, dont une de ses premières oeuvres, This Particular Spring (1956), suivie de Suite (1960), Sonata 1-3 (1964, 1979, 2003), et Elegy (1989).
Demosthenes Dimitrakoulakos